OEIL DE STE LUCIE

Nos rangs font environ 40cm sauf contre indication dans la désignation.

Le coquillage dont est issu l’opercule qui a donné naissance à l’œil de ste Lucie, œil de Vénus ou de la vierge que l’on trouve sur les plages méditerranéennes, ou dans l’océan Indien, Pacifique ainsi qu’en mer de Chine appartient à la famille des mollusques gastéropodes des turbinidaés.

Ces coquillages ont des teintes variables qui dépendent de l’espèce à laquelle ils appartiennent.

En mer méditerranée et plus particulièrement sur les plages des iles qui s’y trouvent, comme en Corse par exemple, l’espèce qui s’y développe se nomme Bolma Rugosa on la reconnait à ses teintes oranges, briques.

En revanche dans l’océan Indien et en Mer de Chine l’espèce dominante se nomme Turbo Argyrostomus aussi nommée turban à bouche d’argent aux teintes vertes, brunes.

Le nom d’œil de ste Lucie prend sa source, en l’an 300 après JC en Sicile, autour de la légende d’une jeune fille chrétienne de Syracuse du nom de Lucie qui accompagna sa maman mourante pour prier sur le tombeau de sainte Agathe à Catane. Celle-ci l’exaucera en guérissant sa maman. En remerciement Lucie vouera sa vie entière à Dieu, à la prière et accomplit un grand nombre de miracles, allant jusqu’à s’arracher les yeux pour ne pas céder à la tentation. Yeux qu’elle jettera à la mer et qui lui seront rendus pour sa grande dévotion par la Ste Vierge Marie. Depuis cet opercule est considéré comme le symbole de cette légende en représentant les yeux de Lucie élevée au rang de sainte. Ces coquillages seraient un gage de protection, de prospérité, de chance et de richesse. Porte bonheur, qui éloignerait le mauvais sort.

Nos arrivages proviennent essentiellement d’Océan indien et de la Mer de Chine.

 

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